Syndic de copropriété high-tech mais humain

Les textes de loi renseignent sur la notion de copropriété, mais pour une meilleure perception nous pouvons la définir comme la propriété détenue sur un bien par plusieurs personnes. C’est l’organisation de la gestion d’un ou de plusieurs immeubles bâtis réunissant plusieurs personnes. Elle est à différencier de la propriété partagée.

En droit, la copropriété donne lieu à un contrat et à des obligations pour les parties. Mais il arrive des moments où des obligations sont bafouées ou des mesures non respectées.

De même, pour instaurer certaines règles ou réaliser des travaux spécifiques, il y a un organe spécifique auquel se réfèrent les copropriétaires. Il s’agit du syndic de copropriété.  Ici le syndic est à distinguer du syndicat qui n’est nul autre que le bras opératoire de ce dernier.

Le syndic intervient dans la gestion à tous les niveaux de la copropriété avec son lot de mécontents et de ratés. Mais depuis peu, nous assistons à la naissance d’une forme particulière de syndic.

 

L’introduction du High Tech chez les syndics de copropriété

 

Pendant de nombreuses années, les syndics n’ont pas connu une évolution majeure. Le fonctionnement demeurait classique. Mais depuis janvier 2019, un vent nouveau a soufflé sur le secteur des syndics de copropriété.

 

L’évolution du syndic de copropriété vers le high Tech

 

Le syndic de copropriété, des années en arrière, n’avait nul besoin de nouvelles technologies. Il privilégie le contact humain et se charge de toutes les démarches concernant la gestion de la copropriété.

Cette relation directe avait son atout, mais a révélé également beaucoup d’insuffisances. Nous parlons surtout d’un problème de transparence et de compréhension des besoins des copropriétaires.

Il y a eu ensuite l’ère du syndic en ligne et celle bénévole. L’un comme l’autre, privilégie les nouvelles technologies. Mais très vite, leurs limites seront aussi décelées et donc un recours à d’autres formes de syndic de copropriété s’est fait sentir.

 

Les raisons de cette évolution

 

Déjà, l’essor de nouvelles technologies. Elles envahissent le monde et il est de moins en moins concevable de gérer la moindre relation humaine sans qu’elles interviennent.

Pour la copropriété, la notion de nouvelles technologies n’apparaît que récemment, notamment avec certaines difficultés dans la gestion.

Les copropriétaires s’attendent à pouvoir tout faire et tout gérer en ligne, ce qui n’était pas sans conséquence sur ces syndics en ligne. Ces derniers ont donc recherché une solution en vue de s’adapter aux nouvelles technologies et pour satisfaire les besoins de leur clientèle.

Cette solution, ils la trouveront dans la gestion informatisée. Mais là encore, le problème n’était pas totalement résolu. À présent, la tendance est alors d’unir la technologie à la version traditionnelle du syndic de copropriété.

 

Que comprendre de la notion du syndic high tech ?

 

Créée en janvier 2019 et vulgarisée en septembre de la même année, le syndic high tech a vu le jour suite à de nombreux constats. Tout d’abord, il y avait la lenteur ou le manque de réaction du syndic classique en matière de gestion des problèmes ou des besoins des copropriétaires.

Il en ressort que les copropriétaires étaient laissés à leur sort, ce qui créait assez de soucis. Dans le même temps, nous assistons à une mode qui est de râler, de crier, voire même de menacer le syndic pour avoir gain de cause.

Pourtant, le même syndic était reconduit tous les ans. Ensuite, il y a eu pléthore de syndic en ligne dont les réalisations laissaient quand même à désirer.

Pour pallier ces deux principaux phénomènes, le syndic high tech a vu le jour. Il a été pensé par Antonio Pinto, un ingénieur informatique. Il a lui-même vécu en copropriété et sait à quel point les relations peuvent être délicates.

Il a alors mis au point une start-up « Bellman » pour centraliser la gestion des copropriétaires. Composé de nombreux gestionnaires disponibles 24h/24, les copropriétaires bénéficient ainsi de conseils et d’une gestion optimale de leurs besoins.

 

High tech mais humain ?

 

Bellman est certes une néo-syndic mais elle diffère véritablement des néo-syndics classiques. En effet, même si les données sont traitées et gérées par de nombreux logiciels, ce syndic privilégie avant tout le contact humain.

Une néo syndic comme son nom l’indique est une nouvelle version du syndic de copropriété qui adhère à l’intégration de nouvelles technologies.

Les gestionnaires Bellman sont d’ailleurs rémunérés en fonction du taux de satisfaction obtenu auprès des copropriétaires.

C’est une solution plus rapide et plus à l’écoute des besoins des copropriétaires. Elle a en quelque sorte concilié les syndics traditionnels au néo-syndic et reprend les mêmes valeurs humaines.

Ce syndic évite que la technologie ne devienne une source ou une motivation de la dépersonnalisation de la relation avec la clientèle. Après tout, les copropriétaires sont également des clients et à ce titre, ils sont les rois. Ils méritent égard et attention.

 

Fonctionnement du syndic High Tech plus humain

 

Dans son fonctionnement, le syndic de copropriété high Tech plus humain offre des solutions mixtes telles que :

 

  • La présence effective du syndic gestionnaire en tant qu’interlocuteur ;
  • La mise à disposition d’un comptable pour chaque copropriété.

 

Ce dernier supervise personnellement toutes les opérations telles que les facturations, l’harmonisation des prestataires, etc.

Par ailleurs, l’aspect High Tech intervient ici avec la mise à contribution de nouvelles technologies pour effectuer lesdites opérations.

  • La mise en place d’une plateforme d’échange entre tous les acteurs :

Cette plateforme est en ligne, mais son rôle premier est de permettre à tous les acteurs de façon inclusive d’avoir accès aux informations en temps et en heure.

  • La capacité pour les acteurs d’être toujours joignable.

 

Les avantages de ce type particulier de syndic

 

En choisissant le syndic de copropriété high Tech mais humain, le client veut observer un nouveau style de gestion de la copropriété.  C’est également l’occasion d’apporter une grande variété de services en une seule fois.

Enfin les syndics de copropriété seront plus réactifs, car avec les nouvelles technologies, il y aura un traitement rapide des doléances des copropriétaires.

La gestion de la copropriété sera désormais plus « propre ». Entendez par là que les clients pourront à nouveau faire confiance au syndic, car ils jugeront la gestion plus saine et plus transparente.

Pour finir, le syndic de copropriété gagne de jour en jour en autonomie et leur parcelle de pouvoir s’étend à juste titre.

Le secteur de l’immobilier est en pleine expansion et les questions liées aux copropriétés sont très souvent laissées de côté. Cette croissance exponentielle de l’influence du syndic de copropriété justifie leur mutation et leur adaptation aux nouvelles technologies.

Mais ils se garderont de ne rien perdre de leur atout premier qui est la confiance entre syndic et copropriétaires. C’est cela même le nouveau système du « Syndic de copropriété high Tech mais humain » défendu par Bellman.

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